
Depuis le début de l'année j'ai reçu plus de dix lettres de jeunes correspondantes me faisant part de leur abandon par leur petit ami, à l'issue des vacances de noël, et cela brutalement, sans préavis, et sans aucune explication. Il faut donc les aider à oublier.
C'est bizarre comme la séparation due aux vacances (surtout celles d'été !), est propice aux ruptures !
Je connais quelques garçons qui sont gentils, attentionnés et qui peuvent faire des “petits amis” fort acceptables ! Il y en a même parmi eux, qui ont une belle petite gueule et des yeux brillants pleins d'étoiles, mais en général ceux là sont déjà pris !LooL
Mais d'autres me laissent toujours perplexes
Je comprend très bien que, pour vous, être le petit ami d'une jeune copine, cela consiste surtout à sortir avec elle (exclusivement ?), a être en quelque sorte ce que, il y a soixante ans, nous nommions pompeusement un “chevalier servant”, à s'occuper d'elle, la dorloter un peu, lui voler (??) quelques baisers, et surtout à ne pas passer auprès des copains pour un ours solitaire et mysogine, mais au contraire à un petit coq gaulois aux multiples admiratrices.
C'est en quelque sorte une amourette et les projets d'avenir ne sont pas de mise, ce qui me parait normal, vu votre âge
Enfin il y a quelques exceptions, mais rares.
Alors je comprends aussi qu'au bout de quelques mois, vous vous soyez un peu lassé de ce rôle (tout nouveau, tout beau, mais les plus belles choses “s'usent.”)
Qu'il y ait donc une rupture à un certain moment, je ne m'en étonne pas, mais pourquoi ne pas le faire en douceur, progressivement et en ménageant votre amie.?
Je trouve que lorsqu'on veut rompre il faut en particulier avoir le courage de ses actes et le dire nettement et en face (pas par mail) à son amie et enj lui donnat les explications - si mauvaises soient elles - qu'elle est en droit d'attendre (ce n'est pas elle sui veut rompre! ).
Je m'aperçois aussi que, presque la moitié de celles qui ont “perdu” leur petit ami m'ont dit qu'il a rompu parce qu'il sortait avec l'une de leurs amies. Là je crois que ni les garçons, ni les filles n'ont de pudeur, ni le sens de l'amitié. Ou alors qu'ils sont inconscients.
Je me demande si, de même que ce que vous appelez “amour” est en fait une "amourette", ce que vous appelez un "ami" n'est pas un simple "copain", avec lequel on peut “délirer”, mais qui est aux abonnés absents dès qu'on est dans la peine;
Là aussi, je retarde : moi, j'en étais resté aux “copains d'abord “ de Brassens; et pour moi, un véritable ami doit être là encore plus dans la peine que dans la joie.
Pourtant j'ai connu deux amies qui étaient amoureuses d'un même garçon, mais qui ne le lui ont jamais dit, pour ne pas faire de la peine à l'autre.
Cela au moins c'était de l'amitié, et si elles lisent encore mon blog, qu'elles sachent que j'admire toujours le geste qu'elles ont eu, bien que depuis longtemps je n'ai plus de nouvelles d'elles..
Il existe encore heureusement, des gens qui ont du coeur !
Dans mes prochains articles je donnerai quelques exemples de ces ruptures.
Je précise toutefois que ce que me disent mes correspondant(e)s comme ce que je leur écrit est confidentiel.
Je ne publie donc jamais rien à leur sujet (même pas un extrait de leur blog), sans leur en demander l'autorisation, et notamment des morceaux de leur histoire ou de leurs mails. Je reste très général, je transforme les noms et légèrement certains faits ou circonstances, (y compris sur les textes cités), afin que leurs amis ne puisse pas reconnaître mon correspondant s'ils lisent mon blog. Il m'arrive même de fusionner certains récits.
Enfin et surtout je soumets intégralement mon texte à l'intéressé(e) et je fais toutes les modifications demandées.
Bien entendu je ne publie rien si mon correspondant ne m'y autorise pas (c'est arrivé une fois seulement depuis 2 ans).